Alfa 158 F1 - 1951

Bonjour à tous et toutes.

Après avoir inauguré la rubrique Galerie 1/43, je vais en faire de même sur celle des montages au 43. Décidément...

Je vous propose ici de suivre le montage de l'Alfa 158 F1 de 1951. Le montage est commencé depuis quelques temps, mais je n'en suis qu'au tout début. Je vais donc mettre ici, à la queue leu leu les premières étapes. Très rapidement nous en seront là où j'en suis et la suite se fera donc avec vous.

C'est un kit en résine Renaissance au 1/43. J'ai peur qu'il y ait beaucoup de travail sur celui là. Il ne semble pas facile. Mais Renaissance à fait un excellent boulot dessus et, si j'arrive à être à la hauteur, il y a de quoi faire quelque chose d'assez sympa, je pense.

Allez, Champagne pour l'ouverture de cette section :) :) :).

ALFA ROMEO.

Comment parler de cette voiture sans commencer par parler succinctement de la marque?

La marque Alfa Romeo vit le jour le 24 juin 1910 lorsqu'un groupe industriel de Lombardie rachète la production du constructeur français Darracq et la re baptise "Anonima Lombarda Fabbrica Automobli"(ALFA). Elle aura le nom que nous connaissons tous actuellement à partir de 1916 suite au rachat de la marque par un industriel, Mr. Nicolas Romeo.

La première Alfa voit le jour en 1911. Il s'agit de la 24HP.

Pendant la première guerre mondiale, Alfa, pour survivre construira moteurs d’avions et de tracteurs, des locomotives et des cuisinières électriques.

Pour ce qui nous intéresse plus, la première incursion dans le monde du sport automobile intervient en 1914. La Grand prix 1914 dispose d’un moteur de 4500CC pour 88cv.


Des années 20 aux années 50, Alfa s'illustre surtout dans le monde du sport automobile, délaissant quelque peu la gamme grand public. C'est durant ces années que ce sont écrites les plus belles pages de la firme, période d'incessante innovations avec entre autre en 1931 l' apparition de la Tipo A, première voiture avec un moteur 12 cylindres, la naissance de la première monoplace de Grand Prix, en 1932, ...

Un jeune pilote fait son apparition dans cette belle histoire. Il s'agit ni plus ni moins que de Mr. Enzo Ferrari. Sous son impulsion, Alfa Corse est crée. Il s'agir du département compétition d'Alfa Romeo. Lorsque pour des raisons financières, "Alfa Corse" est mis en sommeil Enzo Ferrari fera courir les Alfa sous sa propre bannière, la Scuderia Ferrari.

En 1934, l'Italie fasciste voyant en Alfa Romeo un excellent vecteur de propagande à travers le monde, confie la direction sportive d'Alfa Romeo à Enzo Ferrari. En lutte directe avec les puissantes écuries allemandes que sont Mercedes et Auto-Union, les Alfa sont à la peine. L'Alfetta que Ferrari commande à son ingénieur Gioacchino Colombo n'y changera rien, les Allemandes ne cessant de dominer jusqu'à l'éclatement du conflit mondial.

La seconde guerre mondiale oeuvre donc à ses ravages et Alfa arrête la production des modèles civils et de course pour se consacrer de nouveau comme en 1914 à la fabrication de moteurs d’avions et de camions.

La guerre passée, Alfa Romeo est la 1ère "grosse" équipe à renouer avec les championnats automobile. De grands noms tel que Jean-Pierre Wimille ou Felice Trossi conduiront les petites Alfettes à la gloire.

Nino Farina mènera l'équipe au sommet en remportant le premier championnat du monde de F1 en 1950 ! Cette année là, le championnat est dominé par les 3 "Fa": Nino Farina, sacré champion du monde , mais aussi Luigi Fagioli et aussi un certain Juan Manuel Fangio dont nous reparlerons...

L'année suivante, c'est Fangio qui grâce à l'Alfetta coiffe la première de ces cinq couronnes mondiales. Poussées dehors par le changement de réglementation technique, les Alfa tirent alors leur révérence.

Les Alfetta ayant tirée leur révérence, je vais en faire de même sur l'historique de la marque.



L' Alfa 158 F1.

Surnommée "Alfetta" à cause de sa taille réduite, l'Alfa 158 est dotée d’un moteur d’un litre et demi de cylindrée avec une puissance très élevée, obtenue grâce à deux compresseurs Root.

Sa forme et son aérodynamisme fait réèllement penser à un cigare...

En maintenant le concept d'origine, elle est restée présente et a gagné des courses sur les circuits du monde entier pendant treize années, entrant ainsi de plein droit dans l'histoire du sport automobile moderne comme la monoplace à la carrière la plus longue.

Née dans les ateliers de la Scuderia Ferrari en 1937 sur la base d'un projet de l'ingénieur Gioachino Colombo avec la collaboration de l'ingénieur Alberto Massimino, spécialiste des suspensions et des boîtes de vitesses, elle n'aura de cesse d'écumer les grands prix.

Selon les coutumes de l'époque, l'appellation « 158 » fait référence à la cylindrée de 1,5 L et au nombre de cylindres (8). Le moteur est suralimenté avec un compresseur volumétrique « Roots ». Dès les premiers essais au banc, ce moteur montre ses hautes qualités de performance et de fiabilité. Les ingénieurs Alfa Romeo arrivent à en tirer 180 chevaux à 6 500 tours/minute, une puissance qui, pour sa première participation en course, est portée à 195 ch à 7 000 tours/minute.

En 1947, grâce à l'adoption d'un compresseur volumétrique Roots à deux niveaux, la puissance passe à 275 ch à 7 500 tr/min sur le modèle 158/46B. Cette année-là, l'Alfetta 158 remporte les première, deuxième et troisième places du VIIe Grand Prix de Suisse, le 8 juin, à Bremgarten, avec respectivement Jean-Pierre Wimille, Achille Varzi et Carlo Felice Trossi. Les trois pilotes Alfa Roméo se classent dans le même ordre au VIIe Grand Prix de Belgique, le 29 juin, sur le circuit de Spa-Francorchamps. Lors du Grand Prix de Bari, le 13 juillet, remporté par Achille Varzi, Consalvo Sanesi arrive second. L'Alfetta 158 gagne également le XVIIe Grand Prix d'Italie, le 7 septembre, qui se déroule au Parc Sempione de Milan. La victoire revient à Carlo Felice Trossi, tandis que les trois autres Alfetta en course finissent à la deuxième place avec Achille Varzi, à la troisième avec Consalvo Sanesi, et à la quatrième avec Alessandro Gaboardi.

En 1948, une fois la saison terminée, l'Alfetta 158 voit sa puissance encore augmenter pour atteindre 315 ch à 7 500 tr/min avec le modèle 158/47. Cette année-là, elle remporte le VIIIe Grand Prix de Suisse, le 4 juillet, à Bremgarten, avec Carlo Felice Trossi vainqueur devant Jean-Pierre Wimille. Au cours des essais, Achille Varzi se tue lors d'une sortie de piste. L'écurie Alfa Roméo rafle les trois premières places du XXXVe Grand Prix de l'Automobile Club de France, le 18 juillet, à Reims-Gueux, avec Jean-Pierre Wimille vainqueur devant Consalvo Sanesi et Alberto Ascari à bord de la seconde Alfetta 158. Ensuite, elle gagne le XVIIIe Grand Prix d'Italie le 5 septembre, avec Jean-Pierre Wimille, ainsi que le Ier Grand Prix de l'Autodrome de Monza, le 17 octobre, aux quatre premières places, avec Jean-Pierre Wimille, vainqueur devant Carlo Felice Trossi, Consalvo Sanesi, et Piero Taruffi.

L'année 1949 débute de la pire des manières pour l'Alfetta et pour l'automobilisme mondial. En effet, le 28 janvier, au cours des essais du Grand Prix Juan Domingo Peron, sur le circuit du Parc Palermo de Buenos Aires, Jean Pierre Wimille, un des jeunes pilotes les plus prometteurs de l'écurie Alfa Romeo, se tue dans un accident à bord d'une Gordini. Peu de temps après, c'est Carlo Felice Trossi qui disparaît, emporté par une maladie incurable. En quelques mois, l'écurie Alfa Roméo qui a dominé le monde de la compétition durant les trois années précédentes, se retrouve pratiquement anéantie. Alfa Romeo décide alors de ne participer à aucune compétition cette année-là.

L'année 1950 signe le retour de l'Alfetta en compétition avec sa participation au premier Championnat du Monde de Formule 1, avec une équipe entièrement nouvelle, dans laquelle figurent deux pilotes italiens, le jeune Giuseppe Farina, et Lugi Fagioli, né en 1898, ainsi qu'un pilote argentin de presque 40 ans dont on dit le plus grand bien, Juan Manuel Fangio.

Avec une puissance de 350 ch à 8 600 tr/min, et un poids de seulement 700 kg, qui donne un rapport poids/puissance de 2 kg/ch, l'Alfa Romeo 158 ne connait aucune rivale et s'adjuge six des sept Grand Prix de cette première saison mondiale (on considère sept Grand Prix, car bien que les 500 Miles d'Indianapolis soient ajoutés au calendrier du championnat, aucune écurie et aucun pilote européen n'y participe). Le dernier des sept Grand Prix de la saison, le XXIe Grand Prix d'Italie de 1950, qui se déroule le 3 septembre sur le circuit de Monza, est remporté par une Alfa Romeo 159 F1, évolution naturelle de l'Alfetta 158, avec Giuseppe Farina comme pilote, qui remporte ainsi le premier titre de Champion du Monde de Formule 1.

Les lauriers remportés lors de cette première aventure mondiale de l'Alfa Romeo 158, après treize années de domination, sont extraordinaires :

3 premières places au Grand Prix de Grande-Bretagne le 13 mai 1950, avec Giuseppe Farina devant Luigi Fagioli et Reg Parnell,
1re place au Grand Prix de Monaco le 21 mai 1950, avec Juan Manuel Fangio,
2 premières places au Grand Prix de Suisse le 4 juin 1950, avec Giuseppe Farina devant Luigi Fagioli,
2 premières places au Grand Prix de Belgique le 18 juin 1950, avec Fangio devant Fagioli,
2 premières places au Grand Prix de France le 2 juillet 1950, avec Fangio devant Fagioli,
3e place de Fagioli au Grand Prix d'Italie le 3 septembre.
On peut compléter ce palmarès avec le record des 5 tours les plus rapides en cinq Grand Prix et cinq pole positions. Les qualités mises en avant par tous les pilotes qui ont la chance de conduire les Alfa 158 sont ; puissance, vitesse, fiabilité et une maniabilité extrême.

A suivre...

Juan Manuel Fangio.



Né le 21 juin 1911 a Balcarce (Argentine) il fut 5 fois champion du monde, en 1951, 1954,1955 et 1956. Véritable légende, il prendra aisément la place du pharaon qui me manquait pour justifier mont titre.

Après avoir ouvert un garage avec son père et ses frères en 1933, il fit ses première courses en 1936 au volant de la Ford A d'un ami, préparée dans l'atelier familial. Dans les mois suivants, il renouvelle l'expérience à plusieurs reprises, avec la Ford A, puis avec une Buick V8 et enfin avec une Ford V8 de 85 chevaux, qu'il engage en 1938 dans le "Gran Premio de Necochea". Troisième de sa manche qualificative, puis septième de la finale, Fangio prend peu à peu conscience de ses qualités de pilote.

Après s'être lancé dans des courses routières, très populaires dans son pays, il participe, dès la sortie de la guerre, aux temporades; courses sur circuit lors de l'été austral au cours de laquelle les meilleurs pilotes mondiaux (alors essentiellement les Italiens et les Français) viennent se frotter aux gloires locales.



En 1949, Fangio est incorporé à une équipe constitué par l'Automobile Club d'Argentine pour courir en Europe. Rapidement, l'épopée européenne de l'équipe d'Argentine vire au triomphe, puisque Fangio enchaîne les succès avec une insolente supériorité dans les épreuves .

En 1950, il rentrera avec Farina et Fagioli, les 3 "Fa" dont je vous parlais plus haut, dans l'équipe Alfa. De nouveau, il fera grande impression et le premier hat trick (pole position, meilleur tour en course et victoire) de l'histoire de la Formule 1, dès la deuxième course du championnat du monde, lors du Grand Prix de Monaco, le 21 mais 1950. Il s'impose également en Belgique et au Grand Prix de l'ACF, mais plusieurs abandons lui coûtent le titre mondial. Il doit se contenter de la place de vice-champion, 3 points derrière Farina.

Malgrès quelques exploits sortants du lot, c'est est fini de la gloire de Fangio. Séries de malchances, accidents graves, fortes dissentions avec Ferrari qui ne seront à peine appaisées par sa victoire en 1956 à Nurbürgring et qui conduiront & sa séparation de l'écurie.

Ce n'est qu'en 1957 qu'il retrouvera tout son aura au volant d'une Maserati. Il s'impose en Argentine, à Monaco, à Rouen (malgré des pneus usés jusqu'à la corde qui l'obligent au grand plaisir des spectateurs à une démonstration de pilotage en glissade dans la vertigineuse descente du Nouveau-Monde - Fangio dira alors que sa monoplace était plus efficace ainsi qu'avec des pneus neufs). Contraint à l'abandon en Angleterre, il reprend sa marche triomphale en signant, le 4 aout 1957, sur le toboggan du Nürburgring, ce qui reste encore de nos jours considéré comme l'un des plus beaux exploits de l'histoire de la Formule 1. Retardé de près de 45 secondes à la mi-course suite à un ravitaillement cafouilleux, il entreprend une remontée d'anthologie sur les pilotes Ferrari Mike Hawthorn et Peter Collins. Au prix d'une prise de risque de tous les instants et battant 8 fois de suite son propre record du tour, il parvient à revenir sur les « échappés » et à les dépasser dans le vingt-et-unième et avant-dernier tour de la course. Au soir de ce Grand Prix d'Allemagne d'anthologie, à l'issue du duquel il a obtenu la vinqt-quatrième (et dernière) victoire en championnat du monde de sa carrière, Juan Manuel Fangio obtient — alors qu'il reste encore deux courses à disputer — son cinquième titre (dont quatre consécutifs) de Champion du monde de Formule 1. Deux deuxièmes places à Pescara et à Monza viendront compléter une saison triomphale.

En 1958, il se retire des championnats de F1. Malgrès quelques belles course on peut dire que cette année signe sa fin de carrière.

Il décedera le 17 juillet 1995, agé de 84 ans.



La maquette.

Il s'agit d'un kit de la marque Renaissance. Il est au 43°. Composé de nombreuses - vraiment de nombreuses pièces, il étonne par sa précision et sa beauté. Tout cela n'a d'égal que le nombre de difficultés qu'il cumule. Il va y avoir du sport sur ce montage, mais, si j'y arrive, il y a de quoi réaliser là un petit bijou.

Contrairement à mon habitude, je n'ai pas fais de KR avant de le commencer. Il est maitenant trop tard pour cela. Désolé.

Vous découvrirez donc cela avec moi au cours de ce montage.



Allez, je me tais et je commence. Mais par quel bout commencer?

Allez, je commence le montage.

Je vais commencer par m'occuper de la carrosserie. Il y a visiblement pas mal de boulot dessus. La gravure est bonne et la résine ne souffre pas trop de bulle. Toutefois, il y a quand même du travail d'affinage et d'ajustement pour que toutes les pièces s'adaptent bien.



C'est surtout, pour le moment sur l'adaptation du châssis sur la carrosserie que cela se joue.



Après pas mal d'ajustements cela rentre plutôt pas mal.
Tiens, puisque nous voyons cette partie, je pense que je vais modifier le système de fixation. En effet, si j'utilise les vis fournies dans le kit, il y a fort à parier qu'elles se voient une fois le modèle fini. Je pense donc combler ces trous et la fixation final se fera à la toute fin, à la colle bi-composant.

Allez, je me lance dans un des morceaux de choix qu'offre ce kit. Le but du jeu est de former le capot. On part d'une pièce en photo découpe plate et on doit arriver à la forme cylindrique du cigare.



Pour faire cela, le kit donne un gabarit en résine.



Il faut donc former la pièce en utilisant ce gabarit et divers cylindre de bois. Ici des pinceaux. Pour m'aider, j'ai chauffé la pièce afin d'attendrir le laiton. C'est assez long à faire car il faut y aller assez doucement. Avec les ailettes, le risque est en effet assez grand de plier la photodec à cet endroit si on met trop de force. Enfin, c'est du moins l'impression que j'ai eu. C'est assez douloureux pour la pulpe du bout des doigts aussi... ;)



Ce n'est pas encore parfait mais c'est pas trop mal. Maintenant, soit je collerais le capot sur le cigare, soit je reprendrais un peu la forme.



Toujours dans mes histoire d'ailettes, je me suis occupé des latérales. J'ai commencé par ajuster l'emprunte dans la résine et la pièce en photo découpe. Là, il y a vraiment eu du sport. L'emprunte était en effet un peu plus petite que la photo découpe, surtout coté gauche. Enfin, a force de travail, ça passe.



Bon, ceci étant fait, je me suis dis qu'il n'était pas trop logique ce ce soit comblé derrière ces ouïes. J'aimerais bien que l'on puisse apercevoir le moteur à travers. Puis, des ailettes avec du pleins derrière... Il y avait pas mal de possibilités, comme, par exemple un petit jus noir une fois la peinture finie. Oui, mais à aurait pas la chance d'entre apercevoir le moteur à travers... J'ai donc finalement procédé de la sorte, ne choisissant pas le facilité mais le rendu.

Pour commencer j'ai masqué l'emprunte à 0.7mm...



Une fois cela fait et après avoir "sécurisé" les côtes au crayon de papier, j'ai... :


Perso, j'aime bien :) ;).


A ce jour, les deux cotés ont étés fait.

Avant de continuer la préparation de la carrosserie, je décide de m'atteler à une autre des morceaux de choix que propose ce kit, peut être même le plus difficile. A savoir, la calandre.

Avant toute chose, laissez moi vous la montrer sur sa planche, avant le début des hostilités.



Conformément à ce qu'indique la notice, l'action commencer par plier à 90° les traverses horizontales sans les retirer de la planche. C'est la dessus qu'il faut venir placer et coller les traverses verticales.

Une fois cela fait, j'ai fixé le tout avec de la bande cache sur une planchette afin d'avoir un poste de travail fiable et déplaçable.



Bon, jusque là, pas de soucis. Ensuite, il faut sortir de la planche la traverse la plus longue et la placer. Là les choses se gâtent. Déjà, c'est super dur à positionner mais surtout, je n'arrive pas à être sur de la fente où il faut la mettre. Il y en à beaucoup et c'est tellement petit, qu'il est quasi impossible de compter. Bref, je m'escrime dessus mais sans succès.

Du coup, je tente une autre approche. Je décide de faire le contraire, à savoir commencer par la plus petite. Attention! il est bien stipulé que les 4 dernières ne doivent pas être posées avant que la calandre soit en place sur la carrosserie. Je n'ose même pas imaginer cette étape, mais on verra ça le moment venu.
Je sort donc la 5ème lame de la planche, c'est à dire la première à devoir se positionner sur 2 traverses et je la place. C'est beaucoup plus facile et j'y arrive assez rapidement.
J’espère que mes explications sont assez claires pour que vous comprenniez.

Bref, je pose donc cette lame et là... grosse question... Bien que cette lame soit à sa place et bien perpendiculaire comme on peut le voir sur cette photo;


; alors que je devrais avoir 4 espaces de libre pour les lames future, je n'en ai que 3...


Après rélflexion, j'ai fini par trouver le soucis. Etienne (de Renaissance) m'a donné cette infos sur un forum juste après que j'ai trouvé et cela a confirmé ce que je pensais).

Je commence par mettre une copie de la notice sur ce point.



Je me suis servis des photos que j'avais fais pour y voir plus clair Voilà ce que cela nous donne donc:



4 lames 5 fentes
3 lames 4 fentes
1 lame 3 fentes
1 lames 2 fentes
4 lames 1 fente
En reportant ça sur une photo, ça donne:



Vert : 5 fentes
Rouge : 4 fentes
Bleu 3 fentes
Rose : 2 fentes
Et là ça correspond, on a bien les 4 à mettre. En fait, ce qui est piégeant c'est qu'il y a une encoche sans qu'il y ait de fente pour la quatrième lame. C'est la partie que j'ai entouré en rouge.

Fnialement, ce qui aurait été pratique, c'est q'un repère soit gravé sur la photodec pour montrer où commencer. Sérieux, je vous jure, au risque de passer pour un débile, avec la taille de la calandre et le nombre de pièces, c'est super dur de se repérer sur la grille pour démarrer...

Ça y est la calandre est montée. Ouf. une bonne chose de faite. Plus cela allait, plus j'avais le coup de mains et plus j'allais vite. Cool.

Pour tout ce que nous nous sommes dit avant sur ma difficulté à me repérer, j'ai donc commencé par un coté et non par le milieu. Cela offre aussi l'avantage de ne pas devoir en plus du reste devoir aligner toutes les traverse alors que rien ne les bloque.
Bref, personnellement, et contrairement à la doc, je conseillerais plutôt de commencer par la plus petite lame et de remonter. Bien sur ceci n'est que mon avis.



Je suis plutôt satisfait du résultat. Seul soucis, la plus petite traverse (tout en bas sur la photo suivante) s'est barré pendant le montage. Pas faute d'avoir fait attention.



Je vais voir si je peux la fixer. Si c'est trop galère, j'y renoncerais peut être afin de ne pas prendre le risque de tout casser. Je me tâte aussi à peindre où à laisser comme ça. Pour le moment, je serais plutôt enclais à ne pas peindre, mais plutôt à donner des petit coup de laine de fer, voir un brossage à sec.

Voilà, c'est un gros morceau de passer. OUF!

La calandre montée, j'ai continué le travail de préparation sur la carrosserie. Je m'attendais à un travail assez important, j'étais en dessous de la vérité. Je ne me plaint pas, pour le moment, c'est plutôt agréable et enrichissant à faire.

Pour commencer j'ai mastiqué toutes les imperfections que je pouvais détecter avant de passer la première couche d'apprêt.



C'est surtout dessous que cela se jouait. Quelques bidouilles sur le dessus, mais rien de bien méchant. Quand on voit la première photo, on remarque encore deux trous. La photo les révèlent. En fait, ils sont bouchés par une fine couche de résine. A les voir comme ça, je pense que je vais (je me posais la question, je viens d'y répondre), je vais, disais-je les percer pour les reboucher afin de ne pas avoir de mauvaises surprise plus tard.

A noter aussi que j'ai changé de mastic. En effet, sur la Gordini, j'avais utilisé du White Puty de Tam. J'ai noté un endroit ou le masticage avait fini par se creuser, sûrement attaqué par le polu. Vu que c'était dans une zone non visible, je n'avais rien fait, mais ne voulant pas que cela se reproduise, je suis passé à un mastic de carrossier.

Je me suis ensuite attelé, à adapter la partie siège à la carrosserie. Désolé, je n'ai pas fait de photo au début, mais, croyez moi, il y avait pas mal d'affinages à faire, tant sur les cotés du siège, que sur la carrosserie, et que sur le reservoir inclu derrière.

Après pas mal de boulot, il me fallait faire un montage à blanc d'un maximum de pièces afin de voir comment tout cela acceptait ou pas de vivre ensemble.

Je commence donc par assembler à blanc le moteur.



En voilà les différentes pièces résine.

A noter, en plein centre une pièce qui... doit sûrement être une chute, je ne vois pas ce que cela pourrait être d'autre. Et une pièce en haut à droite qui va, qui va... bein, qui va je ne sais pas du tout où... Rien sur la doc à ce sujet, je ne vois vraiment pas ce que je pourrais en faire...

Bon, le moteur est posé à sa place en l'état. Pour ceux qui n'y verraient qu'un bloc de savon, rien n'a encore été fait dessus, et quand on voit la taille de la bestiole, on ne peut déjà qu' être content d'avoir ça.



Par contre, une fois tout cela mis en place... un peu en force, je dois l'avouer... je dois dire que le capot à un peu du mal à se fermer correctement. Bien que contrairement à ce que je disais au début de ce wip, je ne collerais pas le capot, pô envie de me passer de voir ce moteur, il va peut être falloir que j'y fasse quelque chose.



Avant de faire quoi que ce soit, je continue à monter les pièces pouvant interférer dans la blague... Plus j'avance, moins ça rentre.

Ici avec le pot est une partie de ses protection. (Pour le pot, c'est encore une autre blague, mais chaque chose en son temps, j'y reviendrais plus tard; pas aujourd'hui).



Voilà, j'ai pris les repères dont j'avais besoin pour continuer.

Après avoir donc tout re démonté, je me suis ré attaqué au baquet pour essayer de l'intégrer le mieux possible à la carrosserie.

J'ai travaillé sur tous les fronts, et maintenant, ça passe plutôt pas mal. Bon, je reconnais que ce n'est pas encore top, mais je vais voir ça plus tard.



Pour être bien sûr de la façon dont tout cela finira, il me fallait bosser un peu sur la liaison châssis/carrosserie. J'en reveins donc à ce que j'ai dis tout à l'heure sur la difficulté a mettre le capot une fois le moteur en place. Visiblement tout est lié à le bonne position du châssis. Il sera à la fin collé à l'avant sur le radiateur, lui même collé à la carrosserie. Rapellez-vous, je compte me passer des vis et coller le tout à la bi-composant.

C'est sur cette partie que la bâs blesse. Cela manque de matière pour que tout rentre bien.

J'ai donc pris le parti d'en rajouter un peu. J'ai collé à la cyano un petite bande de CP de 5/10 en dessous afin de descendre le châssis et ainsi augmenter l'espace habitable.



En faisant cela, j'ai bêtement cassé la pointe du radiateur.

J'ai donc recollé le morceau cassé et j'ai préféré renforcer le collage avec deux petites chutes de photo dec noyée dans de la cyano.



Toujours est-il que maintenant, tout passe beaucoup mieux.



Il y juste là où je suis toujours dubitatif, mais on verra ça plus tard, lors d'un prochain up. :)



Ne croyez pas en lisant ces lignes que je dénigre ce kit, bien au contraire. Pouvoir pondre un kit avec ce niveau de détail à cette échelle est une réelle prouesse. Il faut juste que j'arrive à être à son niveau. C'était peut être encore un peu tôt pour moi, mais il est sûr que je vais beaucoup progresser grâce à lui.

Afin de continuer la préparation, je me suis occupé des jours entre le châssis et la carrosserie. Il y a en effet de fortes chances que l'on puisse voir ces jours quand le capots sera enlevé et que l'on regardera le moteur.

Pour faire cela, j'ai commencé par coller sur le pourtour une fine bande de CP de 0.25., sauf à l'arrière ou la côte était bonne. Le collage à été fait à la cyano.



J'ai ensuite repéré les endroits où il fallait affiner, l'ai fait puis j'ai de nouveau repéré les zones où une deuxième couche était nécessaire. Le logo Renaissance ne résistera sûrement pas longtemps à ce traitement.



La deuxième épaisseur est posée et affinée. Les cotes sont prises pour la troisième épaisseur. Dans le même temps, j'ai commencé à réduire l'épaisseur. Le logo n'a pas résisté...



La troisième et dernière épaisseur est posée. Le tout à été re ponçé. Ça commence à être pas mal du tout je trouve. Vous noterez au passage que les 2, 3 bulles dont je parlais précédemment on été traitées. J'ai percé ces bulles et y ai collé un petit profilé plastique. Cela m'évitera les mauvaises surprises plus tard.



Hormis le moteur tout est remis en place pour vérification. Tout se passe très bien.



J'ai également remonté cela pour pouvoir faire un petite modification au niveau du siège. Comme vous pouvez le voir, j'ai percé 7 trous en 3/10. Quand la peinture sera finie, j'y mettrais de petits morceaux de fil de fer de 0.3 afin de simuler les rivets.


L'habitacle rentre très bien maintenant. Je vais donc faire ma petite modif. Avec de la green stuff, j'ai fait un petit coussin qui était présent sur cette alfa. Il est beaucoup plus épais que celui du kit et surtout, il vient contre la carrosserie et non dessous comme le kit le propose.



J'en ai profité pour reboucher les trous servant pour les vis que je n'utiliserais pas.


Voilà, j'en suis là actuellement. :)
@+++

tres belle presentation de ton kit et de l'historique de la marque

sympa la video, on peut voir d'ailleurs que t'es bien equipe

ca a du etre en effet une belle prise de tete la calandre , je deviens fou en pensant que c'est du 43 bravo, perso je ne la peindrai pas non plus pour garder l'aspect metal :cheers: , pour les ailettes latterales , joli boulot mais ca va etre d'enfer

pour du wip c'est du super wip avec l'historique de la voiture en plus

j'irais me couché moins con se soir :face: en tout ca j'aime bien la petite vidéo on se rend mieux compte du travaille

bravo encore un wip a suivre

super interréssant.
bravo

Merci à vous :) :)

Après quelques jours de pause, je reprends ce montage. :)

En omettant mon activité professionnelle, j'avais quelques travaux à faire chez moi. J'en ai d'ailleurs profité pour réaménager un peu mon "garage/atelier" et j'ai surtout complètement revu ma cabine de peinture. Suite aux déboires de poussières que j'avais eu sur la Simca, j'ai opté pour une approche diamétralement opposé et beaucoup plus simple. J'ai tout ouvert afin de ne plus me retrouver enfermé et à l'étroit pour peindre et afin de ne plus être dans le couloir d'air. En plus maintenant, je peux voir plus facilement les nanos du compresseur et j'accède enfin facilement à la vis de purge, purge que je ferais tous les jours maintenant. Voilà maintenant ce que ça donne:



Après quelques essais que je vous montrerais plus tard, c'est très concluant et très agréable pour le travail. Bien plus qu'avant. Comme quoi, chercher des solutions à ses problème et ne pas hésiter à se remettre en question à du bon. :)

Bref, je ne vais pas vous embêter plus longtemps avec mes aménagements, revenons en, si vous le voulez bien à la petite Alfa. Le lendemain du jour où j'avais posé la green stuff du coussin, avant qu'elle ne durcisse trop, j'ai fais un essais de placement. Je n'étais pas satisfait. Je le trouvais trop petit et pas assez englobant.



J'en ai donc rajouté un peu de matière afin de mieux l'intégrer.


Voilà, c'est beaucoup mieux, non?



Ce sont là les seuls actions que j'avais fais sur l'Alfa avant de finir la Simca. Tout ce que nous allons voir maintenant à été fait il y a très peu de temps. :)

Je ronge mon frein à vouloir peindre la carrosserie. Même si j'ai hâte d'en être à cette étape, je pense que la préparation n'est pas finie. Pour tout dire, par moment, je patauge un peu avec ce kit. J'ai un peu du mal à voir ce qui doit être absolument vu avant le début de la peinture et ce qui se fera après. En fait, tout s'englobe dans très peu d'espace Alors, je tâtonne, je cherche, je réfléchis, je prends mon temps. Une autre difficulté et que pour être certains de la position définitive des pièces, il conviendrait de faire certains collage, chose impossible avant la peinture. Bref, dans mes hésitations, j'avance malgré tout mais tout doucement.

Afin de commencer à avoir quelques valeurs sûres, je me suis occupé du positionnement du moteur. Il y a deux plots et deux trous. Facile, on ne peut pas se tromper. ;) Mais ces trous sont plus des gouffres que des trous.



Afin de positionner cela un peu mieux, je les ai comblé puis ajouré au bons endroits.




J'ai donc maintenant quelque chose de plus fiable...



Dans le même temps, j'ai repris ma réparation suite à ma bévue sur le radiateur. Maintenant, c'est propre et cela rentre bien.



J'en ai profité pour affiner un peu l'intérieur du triangle.



J'ai continué à affiner un peu le dessous du châssis. Je me dis qu'il ne doit pas être forcement totalement jointif dans le modèle d'origine. Je n'irais donc pas trop loin dans ce sens. J'ai toute fois porté l'accent à l'avant et la l'arrière afin d'voir à la fin une forme assez fluide.



Après tout ce boulot, j'ai encore un petit jour entre la carrosserie et le châssis à cet endroit:



Je n'y ferais malgré tout rien car avec la plaque de protection de l'échappement, cela ne devrait pas se voir.


@+++ :)

plus c'est petit et plus y a de boulot


un travail de longue haleine que tu nous propse la , mais je suis sur que le resultat va etre au rdv :cheers:

250gto a écrit:plus c'est petit et plus y a de boulot

Ca, c'est pas faux... :)

250gto a écrit:
un travail de longue haleine que tu nous propse la , mais je suis sur que le resultat va etre au rdv :cheers:

Pour la longue haleine... oui... j'en ai bien peur. Pour le résultat, je ne sais pas, j'éspère et je fait tout pour. :) :)


Voici la suite. j'ai écris en deux fois, parce que en fait... c'était l=plus long que je ne le pensais... Désolé.

Continuant sur le siège et sa liaison dans la carrosserie, j'ai décidé d'essayer de faire quelque chose sur les cotés. Il y a en effet de grand jours entre les deux.



Me référant à des photos de l'originale, le pourtour du siège était en cuir et englobait (pas parfaitement) la carrosserie. C'était pour cela que j'avais percé des trous pour simuler les rivets si vous vous souvenez. J'ai donc décidé de traiter cette zone en rajoutant de la matière.



A vue de nez, cela semble loin d'être parfait, néanmoins, avant d'aller plus loin, j'ai passé un très léger voile d'apprêt blanc Tam, directement à la bombe juste pour voir où il fallait intervenir.



Ok. J'y vois plus clair. Rien de bien méchant. En fait le plus pénible sera un petite bulle dans la résine (rien à voir avec les modifs que j'ai fait). Pour la situer, elle est à gauche du trou pour le rivet central. Ça, ça ne vas pas être facile à corriger. Bref, s'en est suivit une petit séance de masticage et de ponçage. Vint ensuit la pose de l'apprêt définitif. Toujours le blanc Tam, mais passé à l'aéro cette fois. J'ai volontairement un peu chargé les coté afin de bien fondre les différentes matières.



L'apprêt sec, j'ai eu envie d'essayer quelque chose. M'inspirant de ce qui se fait dans le militaire ou dans l'aviation, j'ai fait une sorte de pré ombrage du siège. Vu la taille du bazar, j'ai opté pour le pinceau pour faire cela.



Bon, je reconnais que pour le moment, cela ne ressemble pas encore à grand chose... Mais je vais maintenant passé à la peinture. On verra bien ce que cela donne.

J'ai choisis de faire la couche de base à l'aéro. XF79 fortement dilué et passé en fins voiles, puis (il fallait bien que j'étrenne mon nouvel aéro ;)), j'ai éclaircis le centre avec une fine ligne d'un mélange de XF79 et de XF 78. Voilà ce que cela donne:



Après avoir fini le travail à l'aéro, je me suis mis aux assombrissements et éclaircissements. Ce fut avec les classiques brossages et jus. Un petit voile de vernis mat Mr. Hobby à bloqué le tout. J'ai également posé les rivets fait dans du fil de fer. Voilà donc la fin pour le siège:



Perso, j'aime bien ce que cela donne. Enfin, voilà, le siège est pour ainsi dire prêt. Je vais maintenant m'occuper du moteur. :)

@+++ :D :D

encore un grand

super le rendu , et une fois la caro peinte il va reelement se "fondre "dedans

mille fois chamion du monde !!! t est un genie ded !! dejas epater par le taf au 1/43 mais je suis sur le du taf et du resultat !!

ton intro est splendide !! et precis !! avec le montage de titans c est devenut passionnant !!!

bon a part ca quand t aurat cinq minutes tu passerat ranger mon atelier comme le tiens !!!

bon elle en est ou cette tite alfa ??

Elle avance tout doucement. Pas beaucoup de temps en ce moment, et, de plus, ce kit n'est pas des plus simple à réaliser. Je vais surement poster l'avancement dans la journée. :)

Merci à toi :)

l'effet du cuir vieillie et superbe

bon ded la prochaine une petite fefe :D

@+gigi

par Gigi le Mer 1 Juin - 10:57
l'effet du cuir vieillie et superbe

bon ded la prochaine une petite fefe Very Happy

ca devrait donner une féfé entre tes mains :affraid: :affraid: :affraid: :affraid: :affraid: :affraid:

Et bien, voila du bien beau (et gros) boulot!!!

Bravo!!

quel boulot de ouf !!!!!!!!!!!!!!
cela nous promet un beau modèle !!!!
Patrick

Merci à vous... :oops:

Gigi a écrit:bon ded la prochaine une petite fefe :D

Merci Gigi. Je ne sais pas encore, je vais déjà commencer par finir cette Alfa, enfin essayer de finir... Je ne sais pas encore trop ce que je ferais après, mais il y a en effet de fortes chance que ce soit une Ferrari. On verra... :)

baronrouge a écrit:cela nous promet un beau modèle !!!!
Patrick

J'espère, Patrick, j’espère. Merci à toi en tout cas.



Je n'ai pas énormément avancé sur le montage, je manque un peu de temps en ce moment, et, de plus ce kit n'est vraiment pas des plus facile... Ou alors, ça vient de moi... Bref, voilà tout de même un mini up. :)



Les rivets que j'avais simulé dépassaient vraiment trop. J'aurais dû utiliser de rivets "tout fait" plutôt que de les simuler mais je n'avais rien en ma possession pour cela. J'ai donc décider de les raccourcir en les coupant à ras du "cuir". Je trouve cela beaucoup mieux comme cela.



Après avoir préparé les pièces du moteur, je les ai passé à l'apprêt. J'ai utilisé le gris Alclad. J'aime bien cet apprêt. On voit bien les défauts avec et il est très très fin. de plus, il est prêt à l'emploi. :)



Vint ensuite la mise en peinture. Alclad White alu pour le bloc moteur.



Je n'avais pas fait une préparation très très soigneuse de ce bloc. Beaucoup de partie ne se verront plus beaucoup une fois qu'il sera en place. Mais j'ai trouvé que j'avais quand même été trop feignant. Je suis donc revenu en arrière et maintenant, il est prêt à retourner en peinture. Nous le verrons plus tard.

Le compresseur, quand à lui, à été peints differement. Après sa couche d'apprêt;



; il a été peint en Jet Exhaust d'Alclad. Sur la photo, ce n'est pas très visuel, mais l'aspect général de la pièce et très... comment dire.... noir métallique. On verra mieux cela quand il sera placé à coté du bloc moteur alu très clair.



Le carburateur, quand à lui, à reçu un traitement différent. Après avoir été apprêté, il a reçu une couche de noir brillant Alclad.



Suivi de deux fins voiles de Polished Alu. Là encore, la photo ne donne pas grand chose, mais c'est plus proche du chrome que de l'alu comme résultat.



Une fois que le bloc moteur sera refait, je pense que j'aurais là les 3 nuances que l'on retrouve sur les photo de l'original (enfin..., plus probablement de modèles restaurés...), et il y aura des différences de couleur entre les pièces.

Coté carrosserie, j'ai collé les ouïes latérales. La préparation que j'avais fait été bonne et, grâce à cela, le collage n'a été qu'une formalité. Par contre, plaquage que photo découpe sur résine implique un masticage. Là, par contre, ce n'est plus la même blague. N'ayant pas envie de me retrouver avec du mastic dans les ouïes, j'ai masqué avant de poser le Sintofer.



Une fois le mastic presque sec, il ne reste plus qu'à démasquer.



Et on se retrouve avec un gros pâté prêt à être poncé mais les ouïes sont sauves.



Par contre, comme on peut le voir sur la photo du dessus, cela oblige à ne faire qu'une bande à la fois. Cela devient donc assez long.

Voilà, les deux cotés sont fait. Je ne regrette vraiment pas d'avoir rainuré ces parties au début. On voit finalement assez bien au travers.



De loin, c'est plutôt pas mal. Je pensais même pouvoir passer le premier voile d'appret. Mais à y voir de plus prét, surtout en mode macro... bein... je n'en suis pas encore à poser l'apprêt. C'est très pénible, car je commence à avoir du mal a voir les défauts comme ça.



Avant de continuer sur cette partie, j'ai entrepris une grosse séance d'apprêt.



Vous avez remarqué que le châssis et le radiateur font partie du convois alors qu'il avaient déjà été apprêtés. Il y avait en effet quelques petits défauts à corriger dessus, défauts qui se sont révélé après l'apprêt. Il n'y avait vraiment pas grand chose à reprendre, surtout si on considère les modifs que j'avais fait sur le châssis et la réparation que j'avais dû faire sur le radiateur.

L'apprêt (toujours Alclad) est passé. Pas de soucis particulier.



Les corrections faites sur le chassîs et sur le radiateur sont bonnes. On le verra sur les prochaines photos.



Une fois l'apprêt sec, j'ai fait des sous ensemble pour la peinture. Cette première série sera en White alu: (Châssis, jantes, bloc moteur).



Le deuxième ensemble, (cloison moteur, tableau de bord, fixations des suspensions et protections du pot) sera en Dark Aluminium afin de bien trancher avec le reste. A noter qu'en préparant les pièces, j'ai malencontreusement cassé une des pâtes des fixations de suspension en la pliant. Assez rigolo à recoller...



Pour la partie suivante (tambours, fixation du pot sur la carrosserie et radiateur, je suis encore un peu indécis. Ce sera soit noir mat, soit Jet Exhaust. A priori, je partirais bien sur cette deuxième option. Pour le radiateur, ce sera bien sur suivi d'un brossage à sec alu et la pointe du triangle finira en white alu.



Il reste quelques petites pièce qui sont les renforts de la carrosserie dans l'habitacle. La notice indique gris clair. Du coup, j'ai bien envie de les laisser avec juste l'apprêt. Qu'en pensez vous?


@+++

il est vraiment superbe se kit

en tout cas tu avance bien

j'ai hâte de voir les prochaines étapes


encore bravo pour ton wip ultra clair et précis!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


pas comme les miens

@+gigi

un bien beau wip pour un beau montage

quand je vois ca , ca elimine d'office toutes mes petites envies de me lancer dans le 43


pour ton gris , je laisserais en effet juste aprette, surtout si les pieces sont planquees , en tous cas c'est ce que je ferait :affraid:

Merci à vous.

C'est vrai, Gigi, ce kit, même s'il n''est pas facile est vraiment superbe.

Pour 250GTO, si tu as envie de t'essayer dans le 43, il ne faut surtout pas hésiter. Cela peut faire peur de prime abord, mais, en prenant un kit assez simple pour commencer, ce n'est pas du tout rébarbatif, au contraire, ette échelle est très sympa. Elle demande juste des fois un peu de réflexion sur la façon de s'y prendre, rien de plus. :) Lances toi, tu vas adorer.

Tiens, en voyant ton pseudo, j'ai dans mon stock un truc que je montrais prochainement qui devrait te plaire. De quoi faire ton pseudo dans la version des 12 heures de Sebring en 1963. Elle donne ça:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image].

J'aime bien cette version, elle change un peu du rouge habituel. Je la montrais au 43 avec un kit BBR d’excellente facture.

@+++